En images : le match fou Rennes-Brest, le triomphe de l’équipe de France de judo… L’actu sport du week-end en photos

Vous avez passé votre week-end loin de l’actu sportive ? Pas de soucis, 20 Minutes est là pour vous rafraîchir la mémoire et vous proposez un récap, en images, des grands moments sports du week-end. Avec notamment ce derby de dingo entre Brest et Rennes (5-4), la belle perf' de l’équipe de France de judo, sacrée aux Championnats d’Europe, l’énième qualification des Lyonnaises contre les Parisiennes en Ligue des champions féminines ou encore la douloureuse défaite des Bleues du rugby en Angleterre. On vous résume tout ça en diaporama.

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  C’est une performance qui augure de bonne nouvelle à quelques semaines des JO 2024 de Paris. Sur les tatamis de Zagreb en Croatie, l’équipe de France de judo s’est offert la médaille d’or dimanche, en venant à bout de la Géorgie (4-0), tenante du titre et tombeuse de l’hôte croate (4-1) au tour précédent. Il s’agit du deuxième sacre tricolore dans la compétition depuis que celle-ci est devenue mixte, en 2018.

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  Un dimanche noir. Voilà ce qu’a vécu le tennis français au Masters 1000 de Madrid. Après l’élimination d’Ugo Hembert un peu plus tôt chez les hommes, Caroline Garcia, dernière chance française a aussi plié bagage en deux sets contre l’Italienne Jasmine Paolini (3-6, 6-2). Il n’y a désormais donc plus de tricolore au terme du troisième tour du tournoi madrilène. Pas très rassurant à quelques jours de Roland-Garros.

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  C’est l’homme de la soirée en NBA. Auteur de 40 points, 9 rebonds et 6 passes décisives, Anthony Edward a permis aux Timberwolves d’en terminer avec la série face aux Suns de Kevin Durant (4-0). Une performance XXL salué par KD. « Son amour pour le jeu transparaît clairement. C’est l’une des raisons pour lesquelles je l’apprécie autant, car il aime le basket, il est reconnaissant d’être là, et il a su profiter de toutes les opportunités qui lui ont été offertes. J’aime tout chez Ant’. C’est quelqu’un que je suivrai jusqu’à la fin de sa carrière », a apprécié le double MVP.

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  Du spectacle, des buts à foison, un scénario renversant… Le « match de l’année » entre Brest et Rennes aura été une véritable orgie du football, une formidable vitrine pour notre belle Ligue des talents. Menés 2-0 puis repassés devant 4-2, les hommes d’Eric Roy ont été rattrapés 4-4 avant d’arracher la victoire dans les ultimes secondes du match (4-5, 90+6). Un succès qui leur permet de valider officiellement une place en Coupe d'Europe la saison prochaine. Reste à savoir si ce sera la Ligue des champions.

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  Francesco Bagnaia se remet en selle : double champion du monde en titre de MotoGP, l’Italien a tenu tête au sextuple champion du monde espagnol Marc Marquez pour remporter dimanche en Espagne son deuxième Grand Prix de la saison.

  Au pied des collines andalouses bousculées par la ferveur des quelque 145.000 spectateurs, le duel de champions entre les deux hommes fort du jour a donc tourné à l’avantage de l’Italien de l’écurie officielle Ducati : « J’ai vraiment aimé cette bataille avec Marc » a savouré le vainqueur du jour à l’arrivée. Sur le tracé de Jérez de la Frontera, Bagnaia remporté son deuxième GP de la saison après celui du Qatar début mars.

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  Une victoire pour boucler la boucle. Comme lors de la première étape, le Français Dorian Godon (Decathlon-AG2R La Mondiale) a levé les bras à l’issue de la dernière étape du Tour de Romandie, dimanche à Vernier (Suisse). Au bout d’une course peu animée, disputée par un temps pluvieux et frais dans les alentours de Genève, Godon a de nouveau fait parler sa pointe de vitesse au sprint.

  « Le vélo c’est une histoire de spirale, de confiance. Mes coéquipiers ont fait un gros travail pour moi », a réagi le coureur de l’équipe Décathlon-AG2R La Mondiale, âgé de 27 ans, au micro de la chaîne L’Équipe. Au classement général, aucun changement à l’issue de cette cinquième et dernière étape, avec l’Espagnol Carlos Rodriguez qui remporte la victoire finale.

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  L’Inter Milan a fêté son titre de champion d’Italie, conquis en début de semaine, avec une victoire face au Torino (2-0) et un impressionnant défilé dans les rues de Milan devant des dizaines de milliers de ses tifosi. Les Nerazzurri, assurés d’être sacré pour la 20e fois de son histoire depuis son succès (2-1) dans le derby face à l’AC Milan lundi, ont signé sa 28e victoire en 34 matches grâce à un doublé de Hakan Calhanoglu (56e et 60e sur pénalty).

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  C’est une nouvelle image qui met en exerce le fléau du racisme dans le championnat espagnol. L’attaquant de l’Athletic Bilbao, Nico Williams, a été visé par des insultes racistes dans le stade de l’Atlético de Madrid lors de la 33e journée de Liga, samedi. « Je suis allé tirer le corner et j’ai entendu des bruits de singe, a-t-il témoigné sur DAZN. Ce n’est pas normal d’être insulté pour la couleur de sa peau ».

  Le jeu a été interrompu momentanément après que l’international espagnol a parlé avec l’arbitre de la rencontre. Quelques minutes plus tard, Williams a inscrit un but, qu’il a célébré se tapant le bras gauche, indiquant la couleur de sa peau en réponse aux auteurs des insultes. « Il n’y en avait pas beaucoup. Il y a des gens stupides partout, s’est désolé le buteur de l’équipe basque, en espérant que cela change petit à petit ».

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  Et à la fin, comme souvent, c’est l’Olympique Lyonnais qui gagne. Déjà victorieuses à l’aller à domicile, il y a une semaine, les Lyonnaises ont de nouveau imposé leur loi dimanche au Parc des Princes (1-2) et ainsi écarté le Paris Saint-Germain de la Ligue des champions. Les joueuses de Sonia Bompastor, titrées à huit reprises, vont disputer leur 11e finale contre le FC Barcelone, bourreau de Chelsea dans l’autre demi-finale.

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  Trébucher sur la dernière marche, voilà la fâcheuse habitude des joueuses du XV de France. Elle s’est une fois de plus vérifiée avec le revers face aux Anglaises (42-21) pour le dernier match du Tournoi des six nations, samedi. Une treizième défaite consécutive contre la meilleure équipe mondiale, qui décroche un sixième Grand Chelem d’affilée. Le suspense a duré seulement douze minutes, le temps pour les Anglaises de marquer deux essais (six au total, contre trois).

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